Clôture de la campagne ‘’Culture pour un changement’’


L’association Yali Niger en collaboration avec l’ambassade des Etats-Unis au Niger a organisé le 02 Mai dernier au centre culturel Américain (CCA), la cérémonie marquant la fin de sa campagne sociale, lancée depuis Septembre 2018. Le thème de cette campagne est intitulée : ‘’culture pour un changement ‘’. La cérémonie de clôture a enregistré la présence du premier conseiller de l’ambassade des Etats-Unis, le chargé des affaires politiques  de l’ambassade de la France et le représentant  de l’Union Européenne (UE).

Dans son adresse, le représentant  de l’ambassade des États-Unis au Niger  a rappelé  les différents domaines inscrits au menu de cette campagne sociale qui s’est déroulée dans six (6) grandes régions : Agadez, Tillabéry, Tahoua, Maradi, Zinder et Dosso. Les activités ont consisté à faire des dons, à organiser des spectacles culturels, des visites dans certains centres pénitentiaires et de santé.  En outre, trois panels ont été également organisés autour des sujets d’actualité tels que la paix, la culture, le développement, la situation de la jeune fille, l’insécurité  et l’extrémisme  violent.

A son tour, le  président  de l’association yali du Niger M. Massoudou  Ibrahim a tout d’abord présenté son association créée par des récipiendaires du Programme Yali initié en 2010 par le président des Etats-Unis  d’Amérique de l’époque, M. Barack Obama. L’ancien président des USA est parti du constat que l’aide au développement  octroyée à  l’Afrique  a connu ses limites d’où l’importance du Programme Yali.

Enfin, M. Massoudou Ibrahim a expliqué que le but de l’association Yali est donc d’identifier des  jeunes leaders actifs au sein de leurs communautés pour contribuer à améliorer leurs conditions de vie. Le programme Yali du Niger, rappelle-t-on, comprend trois (3) volets à savoir le business  en entrepreneur chip, pour les business  man,  le  leader chip pour les jeunes acteurs de la société civile, et public management pour ceux actifs dans l’administration publique.

Mamoudou A. Djibo